Documentaires

2.1. Livres :

- Regards sur l’esclavage au XVIIIe siècle. Montesquieu, 1689-1755, Bernardin de Saint-Pierre, 1737-1814, Mouans-Sartoux, PEMF, 2002. (Coll. « Regards sur les lettres ».)
« À travers les textes de deux grands écrivains du XVIIIe siècle, Bernadin de Saint-Pierre et Montesquieu, présentation de la France esclavagiste. Alors que Montesquieu investissait dans le commerce triangulaire, Bernardin de Saint-Pierre dénonçait avec force le traitement fait aux Noirs. »

- BARTHÉLÉMY Gérard et BARTHÉLÉMY Mimi, Haïti, la perle nue, Châteauneuf-le-Rouge, Editions Vents d’ailleurs, 2000.
« Photographies, contes, peintures qui abordent le sujet de l’esclavage, dans la partie histoire de l’île. »

- BEBEL-GISLER Dany, Grand’mère, ça commence où la Route de l’esclave ?, Pointe-à-Pitre, Éditions Jasor, 1998.
« L’esclavage expliqué aux enfants, sans détours avec de superbes illustrations. »

- CARELLI Mario, Brésil, épopée métisse, Paris, Éditions Gallimard, 1987. (Coll. « Découvertes Gallimard ».)
« Le 22 avril 1500, les Portugais jettent l’ancre au large du Brésil à l’état de nature, pays aux fleuves impétueux, aux forêts impénétrables. Peu à peu les Indiens s’effacent, laissant derrière eux les premiers métis. Entre-temps arrivent les Noirs d’Afrique, les " Pièces de Guinée ". Débarquent enfin des émigrants du monde entier, Allemands, Italiens, Espagnols, Japonais ou Syriens... De cette fusion épique naît le Brésil aujourd’hui. » http://www.decitre.fr/service/searc...

- DAVIDSON Marie-Thérèse, APRILE Thierry et HEINRICH Christian, Sur les traces des esclaves, Paris, Éditions Gallimard, 2004. (Coll. « Sur les traces de... ».)
« Souvent, quand il regardait son fils dormir, Joseph lui murmurait : Je te jure que tu ne connaîtras pas le sort de ton grand-père ! Toi, tu seras libre et on te respectera. Partager les douleurs et les espoirs de deux frères esclaves à travers le récit de leur vie, de l’Afrique aux Antilles. Découvrir les combats pour l’abolition de l’esclavage. Apprendre les fondements de notre histoire. »

- DHOTEL Gérard, L’Esclavage ancien et moderne, Toulouse, Milan, 2004. (Coll. « Les Essentiels Milan junior ».)
« L’esclavage trouve ses origines dès l’Antiquité où il était considéré comme tout à fait normal ! Puis, il s’est développé sur une vaste échelle avec la conquête de l’Amérique par les Européens. Un gigantesque trafic humain s’est instauré à partir de l’Afrique : la traite des Noirs. On a cru, vers le milieu du XIXe siècle, que l’esclavage était enfin aboli mais de nouvelles formes d’esclavage touchent aujourd’hui encore des millions de personnes, dont de nombreux enfants. »

- HATT Christine, L’Esclavage. De l’Afrique aux Amériques, Bonneuil-les-Eaux, Gamma, Montréal, École active, 2003.
« Le commerce des esclaves entre l’Afrique et les Amériques dura plus de 300 ans, du milieu du XVIe siècle à la fin du XIXe, et concerna plus de 24 millions d’Africains arrachés à leur terre natale. L’histoire de ces hommes, leur capture en Afrique de l’Ouest, leur traversée de l’Atlantique. Leurs conditions de vie en Amérique du Nord et dans les Antilles et leur combat permanent pour sortir de leur état d’esclave. »

- JOLY Dominique, Au temps de la traite des Noirs, Paris, Casterman, 2002. (Coll. « Enfants dans l’histoire ».)
« Un album romancé sur la vie d’un jeune Nigérian pris dans les geôles de l’esclavage au XVIIIe siècle. Biolo, dix ans, vit dans un petit village au bord du fleuve Niger. Son destin bascule lorsque des hommes d’une tribu voisine le capturent et le négocient à des marchands d’esclaves. On le force à embarquer. Ce voyage laisse entrevoir à l’enfant le sort qui est réservé à ses compagnons dans les îles à sucre des Caraïbes. Chaque chapitre est ponctué de petites notules commentant quelques passages du récit, des bateaux négriers jusqu’à l’abolition de l’esclavage. »

- MEYER Jean, Esclaves et négriers, Paris, Éditions Gallimard, 1998. (Coll. « Découvertes ».)
« Au XVIe siècle, le commerce "triangulaire" entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique se met en place. La traite négrière saigne l’Afrique : quinze à vingt millions d’hommes et de femmes déportés en trois siècles vont faire prospérer les plantations des grandes puissances coloniales. Mais la résistance des esclaves à leur condition - révoltes spontanées, insurrections, désertions, marronnage... - et le mouvement abolitionniste, impulsé à la fin du XVIIIe siècle par les Anglais, entament le système esclavagiste. En France, grâce à l’infatigable militant de l’égalité qu’est Victor Schoelcher, la République proclame le 27 avril 1848 l’abolition de l’esclavage "dans toutes les colonies et possessions françaises". Jean Meyer retrace le gigantesque trafic et ses enjeux économiques, la féroce exploitation de l’homme noir par l’homme blanc, le difficile combat et la victoire au nom de l’universalité du principe de liberté. »

- PLUCHON Pierre, Les Négriers. Le commerce des esclaves africains, Paris, L’École des Loisirs, 1981. (Coll. « Bibliothèque documentaire ».)
« Des témoignages sur l’esclavage. »

- PONTHUS René, TICHEY François (textes) et DRESSLER Sophie (illustrations), Les Grandes routes, Paris, Épigones, 1989. (Coll. « Rencontrer l’histoire ».)
« La route de l’étain au VIe siècle avant J.-C., du blé au IIe siècle, la route de la soie au VIe siècle, les routes de Saint-Jacques au XIIe siècle, la route du vin au XVe siècle, la route de l’or au XVIe siècle, la route des épices au XVIIe siècle, la route des esclaves au XVIIIe siècle, les migrations vers l’Ouest au XIXe siècle et l’Aéropostale au XXe siècle. »

- TAUBIRA-DELANNON Christiane, L’Esclavage raconté à ma fille, Paris, Bibliophane, 2002. (Coll. « Les mots à cœur ».)
« Une mère militante et passionnée raconte à sa fille l’histoire des souffrances et des révoltes des peuples victimes de l’esclavage. »

- VERGES Françoise et HAUDRIERE Philippe, De l’esclave au citoyen, Paris, Éditions Gallimard, 1998. (Coll. « Découvertes Texto ».)
« 1716 : la France, puissance coloniale, s’engage dans le commerce des esclaves. Les négociants du royaume sont autorisés à faire le "commerce des Nègres". 1790 : premier débat à l’Assemblée sur l’esclavage. Le mouvement abolitionniste voit le jour. 1848, année du "printemps des peuples". Dans les colonies françaises, des centaines de milliers d’individus sont esclaves. La République ne saurait admettre ce déni du droit et de la raison. Le 27 avril, le gouvernement abolit l’esclavage. 1946 : les Colonies deviennent départements français - Philippe Haudrère et Françoise Vergès décrivent ce long cheminement qui, de l’esclave au citoyen, éclaire l’histoire de la démocratie. »

2.2. Périodiques :

- « Sam, esclave noir », BT. Bibliothèque de travail (Cannes), 10/1950, n° 128, p. 1-24.
« La traite des noirs au XVIIIe siècle : leur capture en Afrique, les marchés d’esclaves, le voyage vers l’Amérique, leur condition de vie, les révoltes d’esclaves et l’abolition. »

- « La traite des noirs », BT. Bibliothèque de travail (Cannes), 06/1982, n° 923, p. 1-27.
« Le commerce triangulaire des esclaves : de l’accostage en Afrique à l’embarquement des noirs et à la vente jusqu’à la difficile abolition de l’esclavage. »

- THIBAULT-SALIN Isabelle, « Le commerce triangulaire ou la traite des Noirs », BT. Bibliothèque de travail (Cannes), 10/2004, n° 1161, p. 40-48.
« Rappel historique, en 2004, sur le commerce triangulaire, du trafic maritime d’esclaves noirs, pratiqué du XVIIe siècle au XIXe siècle entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique. »

- « La France esclavagiste », BT2 (Cannes), 11/1992, n° 251, p. 1-48.
« De 1685 à 1848, un texte juridique, le Code noir, a justifié en France l’exploitation barbare dont furent victimes cent mille esclaves africains. »

- « La France esclavagiste : le Code Noir », BT2. Nouvelle série (Cannes), 09/2002, n° 51, p. 1-63
« De 1685 à 1848, un texte juridique français (le Code noir) a encadré l’exploitation de centaines de milliers d’Africains transplantés aux Antilles dans le cadre d’un commerce mené par des marchands venant de France. »

- PETRE-GRENOUILLEAU Olivier, « Les traites négrières », Documentation photographique (Paris), 04/2003, n° 8032.
« Pour entrer dans la complexité d’un évènement historique : comment quarante millions d’individus ont été réduits en esclavage. L’abolition, et les héritages de ce passé douloureux. »

- FAUVIN Virginie, « "Tupac Amaru. La révolte des Incas" de Gérard Herzhaft », L’École des Lettres des collèges (Paris), 01/03/2003, 2002/03-10, p. 57-66.
« Étude du roman historique de Gérard Herzhaft, qui porte sur la révolte des Indiens réduits en esclavage au Pérou, en 1780. »

- JAHIER Marie Claire et PATOU Sybille, « Poésie engagée : poètes antillais et africains », L’École des Lettres des collèges, 01/12/2004, n° 2004/05-04, p. 25-73. « Étude, en classe de 3e, d’un groupement de textes de poètes antillais et africains sur les thèmes de la traite des Noirs, de l’esclavage, du colonialisme, de l’immigration, de la négritude. »

- « Traite des Noirs », Géo, 1994, n° 179
« Le passé négrier de la ville de Nantes et le commerce triangulaire sur lequel se sont édifiées les grandes fortunes du XVIIIe siècle ainsi que l’île-prison de Gorée où étaient envoyés les esclaves avant la traversée. »

- « Esclavage », Textes et documents pour la classe (Paris), 05/1984, n° 350.

- « La galaxie Caraïbes  », Textes et documents pour la classe (Paris), 06/1993, n° 657, p. 3-27.
« Situation sociale, ethnique, économique des Caraïbes, voisines des États-Unis ainsi que leur histoire où l’esclavage tient une grande part. »

- « Les abolitions de l’esclavage : la longue marche », Textes et documents pour la classe (Paris), 11/1993, n° 663, p. 3-37.
« L’histoire de l’abolition de l’esclavage, des origines au déroulement par pays. Ainsi qu’une biographie de Victor Schoelcher et le sort des esclaves libérés. »

- « Le sucre », Textes et documents pour la classe (Paris), 15/04/2003, n° 854, p. 5-52.
« Histoire du sucre dans la cuisine mais également les différentes techniques de transformation de la canne ou de la betterave à sucre et l’économie du sucre ainsi que l’esclavage aux Antilles. »

- « Le temps des négriers », Science & vie junior Hors-série (Paris), 10/1990, n° 19, p. 28-39
« L’histoire du commerce des esclaves en Afrique à travers les chemins de l’esclavage du XVIe siècle au XIXe siècle ainsi que l’invasion coloniale et le partage des territoires africains par les européens. »


 

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