MANIFESTATIONS > 2007 > Ile de France

En 2007, une cérémonie exceptionnelle a réuni à Paris le président de la République sortant, M. Jacques Chirac, et le président de la République élu, M. Nicolas Sarkozy.

Sont recensées les manifestations notables ayant eu lieu sur l’ensemble en France.

Articles de cette rubrique


Colombes (92)
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Le 12 mai, de 14h à 23h00 à la MJC-théâtre de Colombes, l’association ACUPA invitait à un spectacle en l’honneur des Mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions :

- à partir de 14h, rencontre autour de l’exposition Blanc sur Noir, un siècle d’humour blanc… sur les Noirs. Elle présente et questionne, à partir de documents inédits datant du début du XXe siècle jusqu’à nos jours, nombres de stéréotypes à travers la publicité, la presse quotidienne et humoristique européenne et nord-américaine. Le vernissage fit intervenir Cheryl Ann Bolden, artiste contemporaine et archiviste afro-américaine (Precious Cargo), avec la participation d’artistes invités pour un happening « surprise » ;

- suivit « Slamer’s Delight n°2 », soirée de slam sur le thème « Pigments, Névralgie », d’après le recueil de poésie du même nom écrit par Léon Gontran Damas.

Illustration :

- affiche de la manifestation. © Association Acupa. Acupa_edutainement@yahoo.fr. Affiche Slamer’Delight.


 

Drancy (92)
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L’esclavage, crime contre l’humanité, trouve un écho particulier à Drancy, qui y a consacré plus d’un mois de sensibilisation en 2007.

Rendre hommage aux victimes, raconter sans ellipses aux petits et grands cette page douloureuse de l’histoire et ainsi, en assurer la transmission, tels étaient les objectifs des rendez-vous qui jalonnèrent les mois de mai et juin :

- le 10 mai en ouverture se déroula une journée de commémoration. Le spectacle Requiem noir, créé à Gorée fin 2006 et en tournée en Ile-de-France au premier semestre 2007, fut programmé ce 10 mai. Ce spectacle musical conçu et mis en scène par Pierre Lunel, honore la mémoire des victimes de l’esclavage et rend hommage à la vitalité des cultures issues de cette histoire.

- en mai, une exposition, "Les anneaux de la mémoire", réalisée par l’association du même nom et particulièrement destinée au public scolaire, fut présentée à la médiathèque Georges Brassens ;

- le 23 mai, un hommage de la ville, un an après l’inauguration de la sculpture de Jean et Christian Mois érigée en mémoire des victimes de l’esclavage, reproduction de celle offerte par la Guadeloupe à Gorée. Comme pour le 23 mai 2006, une touche festive orchestrée par l’association Drancy Outre Mer salua l’événement avec une grande fête dansante antillaise, qui en 2007 eut lieu dans le gymnase Delaune. Y firent danser la foule le Tropical Show, Difé, et pour la première fois à Drancy, La Compagnie Créole.

- le 24 mai, le film Victor Schoelcher fut projeté à l’Espace culturel, précédé de l’intervention de Catherine Ruelle, critique de cinéma à RFI.

- au mois de juin, s’échelonnèrent des rendez-vous avec des auteurs et des artistes. Le 8 juin, Tanella Boni, professeure et écrivaine ivoirienne (Une vie de crabe ; Les baigneurs du Lac Rose ; Matins de couvre-feu ; Les nègres n’iront jamais au paradis. Le 15 juin, Gérard Pitiot, Fabienne Kanor, écrivaine française d’origine martiniquaise et le rappeur engagé Didier Awadi. Gérard Pitiot a proposé un voyage musical sur une pirogue qui descend tranquillement les rivières de la poésie afro-caribéenne. De chaque coup de pagaie jaillirent, ruisselants, les vers de Léopold Sédar Senghor, de Léon-Gontran Damas ou d’Aimé Césaire. Et comme pour venir les rejoindre, la jeune génération, de René Depestre à Frankétienne, en passant par Tanella Boni, leur fit écho. Construit autour des poètes fondateurs du mouvement de la négritude, courant littéraire créé après la Seconde Guerre mondiale rassemblant des écrivains noirs francophones, Chants pirogue, album enchanteur aux sonorités jazzy et métissées, invite au voyage.

- l’exposition de l’Unesco réalisée en 2004 lors de l’année internationale pour commémorer la lutte contre l’esclavage et son abolition, Devoir de mémoire : le triomphe sur l’esclavage, fut visible à l’Espace culturel. Elle met l’accent sur le rôle central joué par la traite dans la construction du monde moderne, montrant notamment, dans le contexte de l’esclavage américain, comment les Africains ont jeté les bases du développement social, culturel, politique et économique afro-américain ;

- le 19 juin, rencontre avec l’historien Marcel Dorigny, membre du comité pour la mémoire de l’esclavage, docteur de l’université Paris I, maître de conférences au département d’histoire de l’université de Saint-Denis, auteur de la thèse Les Doctrines sociales et économiques d’un groupe politique dans la Révolution française : les Girondins, publiée à Paris en 1992. Ses recherches portent sur divers thèmes : la place de l’esclavage dans les doctrines libérales du XVIIIe siècle, les courants anti-esclavagistes et abolitionnistes, les processus d’abolition dans les colonies d’Amérique... Il est notamment membre du comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS) du ministère de la recherche.

- le 21 juin, en clôture, à l’occasion de la fête de la musique, fut proposé à nouveau le spectacle Requiem noir.

Pour en savoir plus
- sur Requiem noir : voir plus haut l’article sur la tournée de ce spectacle de Dakar au bassin parisien.

- Informations et renseignements sur les actions de sensibilisation de la ville : service municipal de la Culture Tél. : 01 48 96 50 87

Sources :
- le site de la ville, Drancy.net et notamment http://www.drancy.net/index.php ?id_rub=actuasso&id_article=8957

- Le journal Drancy immédiat (mai 2006, mai 2007).

Illustrations : © Ville de Drancy. Photographies du spectacle Requiem noir, portrait de Tanella boni, action avec les scolaires, concert antillais.


 

Ecouen (95)

Du 4 au 12 mai 2007, l’association Zest’ de solidarité a présenté de nouveau son exposition "Au fait…c’est quoi l’esclavage ?" au centre culturel Simone Signoret d’Écouen. Elle comporte quinze panneaux (L’esclavage dans l’Antiquité, La vie dans les plantations, Les grandes figures de l’abolition, L’esclavage moderne…), associés à deux parcours-enquêtes pour les enfants et les adolescents. Cette année, un nouveau panneau, abordant l’esclavage dans les colonies d’Amérique latine viendra compléter l’exposition, destinée à tous.

Créée en 2006 à l’occasion de la première commémoration de l’abolition de l’esclavage et de la traite négrière, l’association Zest’ de Solidarité, composée d’étudiant(e)s de tous horizons a pour objectifs d’organiser des évènements musicaux, culturels et artistiques, de favoriser les actions collectives de solidarité en développant des partenariats avec les acteurs socioculturels locaux, de soutenir des projets-jeunes. Ses activités s’articulent autour de trois axes majeurs : l’un à caractère éducatif, les autres à caractère socioculturel et humanitaire.


 

Houilles (78)

Victor Schœlcher est mort à Houilles (Yvelines) en 1893, le soir de Noël, dans la maison de campagne qu’il louait au 24, rue d’Argenteuil.

La ville lui a érigé un buste en 1904, détruit par les nazis, reconstruit en 1949.

Elle s’est jumelée avec la commune de Schœlcher en Martinique depuis 1998, à l’occasion du 150e anniversaire de l’abolition de l’esclavage. En 2004, pour le bicentenaire de la naissance de l’abolitionniste, la cité, entre autres manifestations et actions, a élaboré une exposition virtuelle, L’esclavage, une histoire des droits de l’homme http://victor.Schœlcher.houilles.fr/).

L’actualité ovilloise accorde donc une place privilégiée au 10 mai. La commémoration, cette année, s’est faite en présence de la famille de l’illustre citoyen et devant son monument.


 

L’Ile-Saint-Denis (93)

Depuis octobre 2005, date du premier salon du commerce équitable, les trois villes d’Île-Saint-Denis, Gorée (Sénégal) et Sainte-Anne (Martinique) ont entamé une réflexion sur le commerce triangulaire équitable et son avenir : échanges nouveaux de savoirs et de compétences dans les domaines de la santé, de la distribution d’eau, du traitement des déchets et de l’artisanat.

L’association pour un commerce triangulaire équitable (ACTE) s’est donné pour but à la fois de faire connaître et comprendre l’histoire de l’esclavage et de la traite négrière, et de mettre en place des échanges de commerce moderne respectant une éthique.

Les trois cités ont des points communs. Insulaires, de faible densité démographique, elles représentent les trois continents ayant pratiqué la traite négrière : l’Afrique, les Caraïbes, l’Europe. Touristiques, métissées, écologiques, elles utilisent la langue française.

La seconde journée de mémoire du 10 mai 2007 vit continuer ce partenariat par une rencontre avec les maires des trois communes : Augustin Senghor (Gorée), Garcin Malsa (Saint-Anne) et Michel Bourgain (L’Île-Saint-Denis). De nombreuses autres manifestations ont été organisées :

- au collège Alfred-Sisley à 10h, rencontre avec les trois maires, et prestation des élèves de l’atelier slam ;
- à 12h en mairie (salle des mariages), un point presse. A 12h30, un repas antillais et sénégalais fut servi dans les cantines ;
- de 14h à 16h salle Cachin un groupe de parents a travaillé autour des droits et des discriminations ;
- à 16h30, devant l’école Jean-Lurçat, une initiation aux percussions ;
- à 18h, ouverture de l’exposition historique, photos sur Gorée et Saint-Anne, buffet antillais et sénégalais, fresque et web-radio en direct ;
- de 18h30 à 20h, musique, danse, slam et vidéo avec Capoeira Macaques, New Caraïbes Expression et Zeor ;
- à 20h30, débat sur la mémoire contemporaine de l’esclavage et la lutte contre les discriminations avec Marcel Dorigny, historien, membre du comité pour la mémoire de l’esclavage (CPME) et Dominique Soppo, président de SOS racisme.


 

Malakoff (92)
L’artiste peintre Sacha Baraz a commémoré la traite, l’esclavage et leurs abolitions le 10 mai 2007 dans son atelier de la Villa Rose, à Malakoff. Il y a ouvert une exposition d’arts plastiques célébrant l’Afrique et ses visages. Ce globe-trotter, a déjà été sollicité pour des expositions dans des lieux prestigieux tel le carrousel du Louvre, L’UNESCO, l’Orangerie du Sénat.

 

Montreuil (93), Colloque « Christianisme, esclavage, liberté et mémoire »
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Colloque « Christianisme, esclavage, liberté et mémoire »

Tenu par l’association Agapé France au palais des congrès de l’Est parisien du 10 au 12 mai, il est né du désir d’encourager les protestants évangéliques à contribuer au débat sur la problématique de la traite et de l’esclavage des Noirs, par un outil de dialogue constructif au service des Églises pour jeter un pont non seulement entre celles-ci et les pouvoirs publics et nos contemporains.

Agapé est une association membre de la fédération protestante de France et de l’alliance évangélique française. Parmi ses partenaires, la communauté des Églises d’expression africaine et les Églises haïtiennes et afro-caribéennes de France.

Abordé dans une approche interdisciplinaire à travers plusieurs thématiques relevant de l’histoire, de la philosophie, de la théologie, de la psychologie et de la sociologie, le colloque de Montreuil s’est intéressé, au-delà de la question historique, aux empreintes de l’esclavage dans le monde contemporain : 700 000 à 2 millions de femmes et d’enfants entraînés dans ce commerce chaque année, selon des chiffres de l’UNICEF, qui désigne l’Asie du Sud-Est, l’Afrique de l’Ouest et du Centre comme les régions du monde les plus touchées. Jean-Claude Girondin, docteur en sociologie et directeur du projet, lui a consacré un site internet (www.dixmai.com).

A travers un travail de recherche et une action pastorale, Jean-Claude Girondin a mis en évidence le vécu des chrétiens antillais ou réunionnais en France. Il est important, pour lui, d’organiser une manifestation à une date anniversaire de la loi de 2001. Jean-Claude Girondin est l’auteur d’une thèse de doctorat, Religion, ethnicité (créolité) et intégration parmi les protestants évangéliques de la région parisienne.

La signification chrétienne de cette initiative lui apparaît clairement. Le théologien John Stott écrivait que « le mal inhérent à l’esclavage, comme au racisme, est qu’il détruit ou nie la dignité d’hommes créés à l’image de Dieu. Nous pourrons ainsi ensemble apporter des réponses spécifiques aux conséquences psychosociologiques de l’esclavage en marchant dans le chemin de la liberté que donne le Christ ; Si donc, c’est le Fils qui vous donne la liberté, alors vous serez vraiment des hommes libres (Jn 8,36) ».

Christianisme, esclavage, liberté et mémoire, le thème générique de la rencontre s’applique d’une part à l’histoire de l’Afrique et des Antilles, et donc en particulier aux tragédies que constituent les traites négrières, l’esclavage, la colonisation, et, d’autre part, à l’apport de chrétiens protestants engagés dans la lutte pour l’abolition de l’esclavage. Le colloque a tourné autour de quatre axes : historique, théologique, sociologique et philosophique. Il était destiné à un vaste public : universitaires, étudiants et lycéens, églises protestantes et catholiques, organisations de la société civile, antillais et africains ainsi que toutes les personnes qui portent un intérêt ou une passion pour l’Afrique et le monde noir en général.

Introduit par Jacques Blocher (directeur de l’institut biblique de Nogent, directeur administratif de la faculté libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine), il a comporté une exposition, La mer c’est l’Histoire, la projection du film Le Passage du Milieu de Guy Deslauriers, enfin, une série de conférences ponctuées de spectacles, gospels et chants traditionnels créoles :

  « entre mémoire de l’esclavage et rêve d’humanité, la vision prophétique du passé des écrivains antillais », par Philippe Chanson, théologien de l’université de Genève, anthropologue ;
  « William Wilberforce, une figure de l’abolitionnisme chrétien. Son influence sur l’abolitionnisme français », par Franck Bourgeois, pasteur de l’Eglise réformée de France et aumônier aux armées, doctorant ;
  « Un Ethiopien peut-il changer sa peau : le traitement des différences phénotypiques dans la Bible », par Alain Nisus, professeur de théologie systématique à la faculté Libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine ;
  « l’apôtre Paul face à l’esclavage de son temps », par Jacques Buchhold, professeur de Nouveau Testament à la faculté libre de théologie évangélique, Vaux-sur-Seine ;
  « du commerce négrier au combat abolitionniste, l’implication du protestantisme français dans l’esclavage des noirs », par Jean-François Zorn, professeur à la faculté protestante de Montpellier ;
  « du devoir de mémoire au droit à l’histoire, l’expérience des cultures de la Caraïbe », par Daniel Maximin, poète, romancier et essayiste ;
  « la traite négrière entre mémoire et histoire », par Gaston Kelman, écrivain ;
  « l’espérance, une permanence au-delà des conjonctures », avec Fabrice Desplan, docteur et chercheur du CNRS (Groupes Sociologies Religions Laïcité) ;
  « la problématique de l’esclavage dans la littérature antillaise, avec Jacob Labeth, professeur agrégé d’histoire-géographie, doctorant ;
  « la mémoire et l’oubli chez Paul Ricœur », par Olivier Abel, professeur de philosophie éthique à la faculté libre de théologie protestante de Paris ;
  « Les philosophes des Lumières et l’abolition de l’esclavage : l’écueil de la tolérance ? », par Majagira Bulangalire, président de la communauté des Églises d’expression africaine en France (CEAF).

Contact : http://www.agapefrance.org/agape/ I Illustrations :

© association Agapè France. affiche, colloque « Christianisme, esclavage, liberté et mémoire », affiche et image.

© affiche du film Passage du Milieu de Guy Deslauriers.


 

Montreuil, Visions d’esclavages
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Visions d’esclavages

Avec Visions d’Esclavages, du 9 au 16 mai 2007, au Café La Pêche à Montreuil, l’association Catharsis, en partenariat avec la ville et le magazine Respect proposait plusieurs regards, d’où le pluriel. Traite négrière avec le commerce triangulaire mais aussi l’esclavage dit moderne, esclavage sexuel, esclavage des enfants, etc., à travers différents arts : photographie, sculpture, peinture, illustration, courts métrages… Pour l’association, il s’agit de donner des outils à chacun pour mieux appréhender notre histoire commune, mieux se comprendre et vivre ensemble. Mais aussi de redéfinir une nouvelle citoyenneté, à l’heure où de nouveaux changements se profilent pour notre pays. Visions d’Esclavages, c’est tout d’abord une rencontre entre citoyens d’horizons et de milieux différents. Cette richesse ne s’arrête pas là car il s’agit aussi de rencontrer de jeunes artistes, qui par leur engagement artistique s’expriment et participent à ce devoir de mémoire.

Le programme comprenait :

- une exposition du 9 au 16 mai, dont le vernissage se tint le 10 mai en présence de Delphine Monnereau, sculpteur, Clément Descas, peintre, sculpteur, Valérie Nkogo Ndong, peintre, illustratrice, Peste19, graffeur, ©Nubianz, photographe, Matthieu Davette, photographe, Tutus Mobio et White Laugh, peintres, et Mad, graffeur. Tous avaient carte blanche pour produire une œuvre ou un court-métrage de cinq minutes sur leur vision de l’esclavage ;

- la projection vidéo de trois courts métrages réalisés spécialement pour Visions d’Esclavages par Théodore Sanchez, Vincent Pompignoli, Sylvain Certain & Nicolas Gans (co-réalisateurs) ;

- un débat animé par la journaliste et ex-sportive de haut niveau Maryse Ewanjé-Epée autour de la question « Esclavage et inconscient collectif, quelles sont les répercussions et l’impact sociologique en 2007 ? ». Intervenants : Maryse Ewanjé-Epée, journaliste spécialiste des relations afro-européennes ; Kohndo, rappeur, Mamadou Mahmoud Ndongo, écrivain ; Olivier Besancenot du comité Devoirs de Mémoires ; Taki Ngom, anthropologue...

- le 11 mai, un concert avec Sandra Nkaké, Kohndo, les Kalash, Dany Dan, Daz-Ini et Matt Moerdock.

Contact

Association Catharsis

www.myspace.com/catharsisteam

catharsisteam@yahoo.fr

01 46 38 41 20

Illustrations :

Affiche © association Catharsis


 

Pantin (93)
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Pantin (93), Poupées des Tropiques

L’association Poupées des Tropiques propose une série de poupées de la Caraïbe, d’Afrique, Afro-Américaine, de la diaspora noire en général, par Rosina Mondor. Le but est de découvrir et de mieux connaître le monde merveilleux des poupées noires, qui symbolisent la culture et l’héritage d’un peuple.

Pour le 10 mai 2007, une série spéciale a représenté des scènes de l’histoire de l’esclavage, qui peuvent servir de support pédagogique.

Photographies : © Association Poupées des Tropiques.

Contact Poupées des tropiques Mme Rosine Mondor, présidente 21 rue Sainte Marguerite 93000 Pantin


 

Saint-Denis (93)

La Fédération syndicale des activités postales et de télécommunications a proposé une journée de mobilisation consacrée à la mémoire de l’esclavage et à la continuité territoriale à la Bourse du Travail, ponctuée d’un débat, d’une cérémonie et d’un rassemblement devant le siège de La Poste.

Contacts
- FEDERATION SYNDICALE DES ACTIVITES POSTALES ET DE TELECOMMUNICATIONS 25/27 rue des Envierges 75020 PARIS Tél 01 44 62 12 00 / Fax 01 44 62 12 34


 

 

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